
Fils d’éleveur laitier, je suis né à Roanne et y ai étudié en décrochant mon baccalauréat au lycée Albert-Thomas.
Père de famille, je suis investi dans le secteur associatif depuis de nombreuses années. Actif, j'ai été élu en 2020 dans ma commune de résidence à Renaison, en charge du tourisme pour le Département de la Loire.
Qui
suis-je ?
Actif et
proche de vous
Comment croire en la politique quand on est jeune ?
Parlons nous franchement : rien ne me prédisposait à être élu. Ma famille n’est pas politisée et mes parents n’ont jamais exercé de mandat. Mais c’est en 2014 que j’ai compris à quoi servait la politique.
Alors que mes parents faisaient beaucoup de sacrifices pour financer mes études, le gouvernement décidait de supprimer la bourse au mérite.
En attaquant cette décision en justice, je suis parvenu à faire rétablir cette aide financière. Je me suis dit qu’on pouvait changer les choses quand on se mobilisait.
J’ai décidé alors de m’engager davantage en suivant un master à SciencesPo puis à la Sorbonne.
Par la suite, j’ai été embauché à l’Assemblée nationale où j’ai travaillé pendant cinq ans avant de revenir m’installer en Roannais.

Je veux défendre les Roannais par des mesures nationales mais aussi par des projets locaux. Car la politique ne peut se concevoir qu' à Paris, je considère que des échanges réguliers avec vous est essentiel.
C'est ainsi que j'inscrits mon mandat dans la proximité : proximité à vos cotés et proximité avec les élus locaux que vous avez choisis.
Ces rencontres régulières avec vos maires, vos conseillers départementaux ou régionaux, me permettent de faire remonter à Paris les problématique auxquelles vous êtes confrontées quotidiennement : Infrastructures, problèmes avec l’administration, normes inadaptées, un député doit être proche de tous et actif.
Pourquoi avez vous fait le choix de vous présenter pour devenir député ?
Vous êtes père de famille depuis quelques mois, qu’est-ce que cela a changé pour vous ?
Mes nuits (rires) ! Depuis la naissance de ma fille, mon regard sur notre pays a changé.
Comme beaucoup de parents, je me pose la question de quel avenir allons-nous laisser à nos enfants et petits-enfants ?
Les sujets sont nombreux, et majeurs : lutte contre la désertification médicale, maintien de l’ordre et de la sécurité, protection de l’environnement, préservation de notre système de sécurité sociale. Nous devons leur laisser un monde plus sûr et plus serein que le nôtre.